Català | Castellano | English | Français | Deutsch | Italiano | Galego | Esperanto
En aquest lloc «web» trobareu propostes per fer front a problemes econòmics que esdevenen en tots els estats del món: manca d'informació sobre el mercat, suborns, corrupció, misèria, carències pressupostàries, abús de poder, etc.
Titre | Qui sommes-nous? | Contact e-mail | Blog

Publications du Centre d'Études Joan Bardina:

Petite histoire de la monnaie.
Agustí Chalaux de Subirà, Brauli Tamarit Tamarit.

Le Capitalisme Communautaire.
Agustí Chalaux de Subirà.

Un outil por construire la paix.
Agustí Chalaux de Subirà.

Légendes sémitiques sur la banque.
Agustí Chalaux de Subirà.

Monnaie télématique et stratégie du marché.
Magdalena Grau, Agustí Chalaux.

Chapitre 12. Répartition solidaire de la masse monétaire communautaire. Monnaie telematique et strategie du marche. Table des materies. Monnaie telematique et strategie du marche. Chapitre 14. Nouvelles règles de marché. Monnaie telematique et strategie du marche.

Chapitre 13. Strategie d'equilibre dans le commerce exterieur.

  1. Objectifs de ce chapitre.
  2. L'equilibre des balances de paiment.
  3. La question des «devises».
  4. Invention d'argent exterieur.

1. Objectifs de ce chapitre.

Ce chapitre traite de la stratégie d'equilibre dans le commerce extérieur; il complète ce qui a été esposé au chapitre 10, au sujet du marché intérieur.

L'idée fondamentale est qu'il faut assurer l'équilibre de la balance de paiements et que, pour l'obtenir, l'implantation de la facture-chèque télématique peut devenir un instrument irremplaçable, puisqu'elle procure une connaissance ezhaustive de la situation du marché a tout moment. De cette manière, il est possible d'établir une politique douanière adéquate pour compenser le déséquilibre entre les importations et les exportations.

D'autre part, l'utilisation de la facture-chèque de commerce extérieur rend impossible la spéculation de capitaux internationaux encouragée par le système du marché de devises actuel, puisque toutes les opéerations se feront en unités monétaires intérieures et que seul le Tresor pourra détenir des devises. On établira journellement les équivalences de lúnité monétaire intérieure avec les devises étrangères, à partir de «l'étalon or» arbitraire en rapport avec le marché international du métal or.

Finalement, comme nous l'avons déja dit au chapitre 10, en nous référant au cas du marché intérieur, nous appliquerons une stratégie semblable por inventer de l'argent communautaire destiné au commerce extérieur, toujours en fonction des excédents de production.

2. L'equilibre des balances de paiment.

La stratégie fondamentale que devrait pursuivre tout commerce extérieur, c'est que le total des exportations de marchandises (productrices et produites) s'équilibre avec le total des importations de marchandises (productrices et produites), c'est-à-dir, équilibrer le total des importations de marchandises avec celiu des exportations.

Si cet équilibre ne s'obtient pas, à la longue, símpose la suspension du commerce extérieur, puisque le pays déficitaire (qui importe plus qu'il n'exporte) se met dans une situation insoutenable, ce qui nuit aussi à son créancier.

Cet équilibre est relativement facile à établir avec la pratique de la facture-chèque télématique, puisque celle-ci procure une connaissance exhaustive de la situation de la balance de paiements à chaque instant et avec chaque pays (traté boñatéral) ou groupe d'Etats (traité multilatéral). En fonction de cette situation, on peut imposer des «droits de douane» variables : si la balance avec chaque Etat contractant étranger est en équilibre, les droits de douane seront nuls; les droits à l'importation monteront avec les balances déficitaires, et les droits à l'exportation monteront avec les balances en excédents.

Les droits de douane propres au pays, établis automatiquement selon une échelle légale bien connue par tout les monde, seront communiqués, sur simple pétition, à toute entreprise intéréssée, nationale ou étrangère, indépendamment du produit qu'elle voudrait importer ou exporter; l'unique facteur dont il faut tenir compte est l'équilibre de balance existant avec le pays de destination ou d'origine considéré. Ces droits de douane seront garantis à l'entreprise intéressée pour une période de temps réglé par la prudence, si elle s'engage à réaliser l'opération, selon facture pro forma présentée, dans le délai fixé.

On obtient, par ce système, un équilibre dynamique et continu de balances, qui est la meilleure garantie pour un bon fonctionnement du libre commerce international du propre pays, en fonction de la législation en vigueur dans la société géopolitique, mais surtout en fonction de toutes les libres initiatives privées solvables.

L'autorité du Commerce Extérieur et Douanes devra aussi tenir compte de ce que en chaque facture pro gorma présentée pour connaître les droits de douane, les prix facturés soient conformes aux prix facturés soient conformes aux prix minimums de vente en gros et au détail, établis par le tarif général intérieur. Cans le cas aù les prix étrangers seraient inférieurs à ces prix minimums fixés par les corporations respectives (ou à leur défaut, par la Justice économique spécialisée), les droits de douane «anti-dumping» seraient exactement la différence centre le prix d'oriigine de chaque marchandise importée et le prix intérieur de tarif.

Quant aux exportations de services (fret, assurances, etc...), salaires du travail, intérêts, dividendes, royalties, rapatriements de capitaus, etc. correspondant à des investissements, entreprises ou inventions étrangères dans le propre pays, et a des exportations de capitaus du propre pays à un pays étranger quelconque, l'auytorité de Commerce Extérieur et Douanes devra respecter, non seulement la législation génerale mentionnée plus haut, mais de plus, les contrats souscrits dan la législation spécialisée en vigueur, entre elle et toute personne privée (individuelle ou collective) ou appartenanot à une institution publique.

3. La question des «devises».

Comme nous l'avons déjà vu au chapitre 4, le commerce extérieur suppose des relations monétaires internationales qui aujourd'hui sont caractérisées par le «flottement de devises»; il n'y a pas de changes fixes mais ceux-ci varient et évoluent selon la cotisation de chaque devise dans le «marché des changes».

La cotisation de chaque devise devrait flotter, en principe, selon la situation productive et monétaire de chaque société géopolitique; la réalité nous démonttre que l'irrationalité du système monétaire actuel permet que les fluctuations normales d'ajustement se voient amplifiées, embouillées -et même inverties- par suite de cde qu'on appelle «mouvements spéculatifs de capital» hot money. Dans ce cas, les cotisations fixées ne correspondent à aucune réalité, mais plutôt aux volontés spéculatives, et au lieu de servir à un plus grand et meilleur développement des marchés intérieur et extérieur, elles ne font que les embrouiller et les jeter dans le désordre et la contradiction.

La première condition à remplir pour tout système monétaire rationnel, comme nous l'avons déjà vu, c'est «qu'il puisse y avoir de mouvement monétaire sans le mouvement correspondant et corrélatif inverse de marchandises concretes (soit de marchandises produites, soit de marchandises)».Cette même règle doit être aplliquée au commerce extérieur, et, par conséqquent, il est évident que demeure radicalement supprimé le «marché de devises» en toute société géopolitique qui adopte la facture-chèque télématique comme unique instrument monétaire légal. Changer une monnaie pour une autre, sans que le motif en soit une transaction réelle avec l'extérieur, sera instrumentalement et totalemen impossible. Le «change de divises» à effets commerciaux sera une affaire à résoudre au niveau central, par l'Etat -gérant de toute la société téopolitique- de la manière suivante: toute transaction commerciale avec l'exetérieur, soit d'importaqtion, soit d'exportation de marchandises productrices (capitaux, travail, inventions, équipes d'entreprises) comportera l'établissement d'une «facture-chèque extérieure».

Deux cas peuvent se présenter:

Cas A)

  1. Les factures chèque télématiques de commerce extérieur seront toujours consignées en unités d'une devise étrangère (soit la devise de l'Etat étranger contractant, soit une devis d'acceptation internationale convenue entre les deux agents).
  2. L'importeus ou l'exportateur étranger paiera au touchera, selon le cas, en telle devise. Celle-ci aboutira au trésor -ou en sortira- Celui-ci sera le seul qui pourra détenir des devises.
  3. L'importateur ou exportateur du propre pays ne pourra détenir de devises: sur son compte courant ne figureront que des sommes (payées ou dûes selon le cas) en unités monétaires inotérieures. Pour effectuer le transfert des unités étrangères aux unités intérieures, on pourra recourir au simple mécanisme d' «équivalence or»; une loi constitutionnelle déterminera un «étalon or» arbitraire pour l'unité monétaire intérieure qui sera comparée journellement dans le marché international de l'or1 avec chaque devise étrangère. Des rapports journaliers «or-unité monétaire intérieure» et «or-devise étrangère» (selon les prix dans le marché libre), on dédura logiquement un rapport «unité monétaire intérieure devise étrangère»' qui sera utilisé pour effectuer la traduction numérique entre les deux unités.

Cas B)

Une auotre alternative -exeptionnelle du moins au début- pour réaliser le commerce extérieur consistera en ce que lágent étranger accepte de payer, au d;être payé, en unités monétaires intérieures (contre la remise de marchandises, s'il s'agit d'un exportateur ou contre la remise de devises, s'il s'agit d'un importateur). Evidemment, le compte courant ouvert ne sera ,valable que dans la société géopolitique. Ce sera le cas le plus courant quand il s'agit de tourisme étranger au d'investissements étrangers dans le propre pays.

Dans ce système disparaît toute possibilité de spoéculer sur l'unité monétaire, et les fluctuations de la valeur de change de clle-ci par rapport à toutes les autres devises se devronty uniquement à la propre évolution du marché de productions.

4. Invention d'argent exterieur.

La même stratégie dínfention dárgent communautaire que nous avons vue dans le marché intérieur peut être appliquée, si cela convient, au commerce extérieur, roujours en fonction des excédents existants.

Quand toute la production ne peut être absorbée par le marché intérieur -malgré les crédits concédés et les financements distribués, -on peut alors concéder «crédits et financements» aqux pays étrangers intéressés par les marchandises.

Le commerce estérieur se constitue ainsi en troisième canal de cortie du marché intérieur.

De même, tour Etat étranger (traités bilatéraux), groupe d'Etats étrangers (traités multilatéraux), toute entreprise ou groupe d'entreprises étrangères peuvent concéder au propre Etat des crédits pour inestissements ou des financements, dans l'exercice contractuel légal de confronter leurs intérêts avec ceux de la société géopolitique indigène.

La formule pour l'équilibre de balances du commerce extérieur est donc la suivante, très simplifiée:

                      Ip + Ie + idp
Commerce Extérieur = --------------- = 1
                      Ep + EE + ide

Ip = Importations privées.
Ie = Importations pour crédits et financements concédés par létranger.
idp = Intérêts et dévolutions de capitaux, crédits et financements propres qui proviennent de l'étranger.
Ep = Exportations privées.
EE = Exportations pour crédits et financements concédés à l'étranger.
idp = Intérêts et dévolutions de capitaux, crédits et financements concédés par l'étranger.


Note:

1Le prix du métal or fixé à Londres est accepté par tous les pays du monde; ceci permet d'établir cette équivalence face au marché exutérieur et évite de revenir à la monnaie concrète, ni inutrinsèque ni extinsèque.

Chapitre 12. Répartition solidaire de la masse monétaire communautaire. Monnaie telematique et strategie du marche. Table des materies. Monnaie telematique et strategie du marche. Chapitre 14. Nouvelles règles de marché. Monnaie telematique et strategie du marche.

Titre | Qui sommes-nous? | Contact e-mail